Sur ses terres

( La musique qui va avec ^^ http://www.radioblogclub.fr/open/121893/not_meant_for_me/Wayne%20Static%20%28Static-X%29%20-%20Not%20meant%20for%20me )

Un grand loup de couleur noir jais était assis sur un tronc noirci par le feu.
Il se tenait en position de dominant, tête haute. Sa carrure était impressionante, sous son épais pelage aussi noir que la nuit, les muscles se dessinaient nettement.
Puissant, c'était le mot qui ressortait de ce loup de la nuit .
Ses yeux, étaient d'un bleu aussi sombre que son pelage, tout chez ce loup était impressionant et sombre.
Mais c'était un séducteur inveterré, combien de louves étaient passées entre ses pattes ?
Il n'en contait plus le nomre minatenant.
Un sourire se dessina sur son museau, un beaux sourire, fin et gracieux.

Son regard se posa sur l'ensemble de la fôret, regardant les moindres détails qui la composait, n'en oubliant aucun.
Ses terres, sa meute, les Fracia...

White marchait le long des arbres épineux... Ca fourrure blanc ce relfettant grace a la lune lumineuse... Ces yeux un peu sombre mais scintillant a cause de la lune. Son souffle lent et ça marche lente regardent les moindre détails de son regard froid et sombre. Quand au loin elel voyait un loup... Docuement la brise lui apporta son odeurs. White s'arrêta et s'asseya l'observent en silence...

Le loup noir avair reperé la louve.
Sa fourrure blanche, bien que magnifique ne se melait pas dans le paysage et la laissait apparente.
Le loup atendit que la louve l'ai reperé pour la regarder, droit dans les yeux.
Son regard de braise et aussi sombre que son pelage se plongea dans celui de la louve. Un regard envoutant qu'on ne pouvait oublier.
Le loup se leva finalement et d'un saut gracieux atterit par terre, la beauté de ses gestes était amplifiée par son pelage noir jais.
Il s'avança lentement vers la louve, de la puissance émanait de sa carrure de dominant.
Il se posa devant la louve et la regarda uo plutôt la jugeait du regard.

"Qui es tu ?"

Finit il par dire, d'une voix grave et mélodieuse mais où on ne lisait aucun sentiment de sympathie.